articles de presse et réactions

Rennes finit dans le dur

Johan Carrasso : "A moi de prouver"

Jean-Armel Kana-Biyik : "Du plomb dans la tête"

Citation :

Le club à l’écoute de ses supporters

Le Stade Rennais F.C. va lancer prochainement une grande enquête auprès de son public. Ce matin en conférence de presse, Pierre Dréossi a présenté le projet devant l'assemblée de journalistes présents. « Nous voulons cerner le profil de nos supporters pour mieux répondre à leurs attentes. Nous voulons prendre les bonnes décisions structurelles. Il n’y a pas que le terrain. Nous sommes une entreprise de sport-spectacle et nous devons être à l’écoute de nos clients pour mieux les satisfaire. »

Les abonnés auront la primeur de répondre à cette enquête, ce sera ensuite au tour de tous les autres supporters du club d’apporter leur contribution.

Le questionnaire sera bientôt en ligne sur www.staderennais.com

Bah déjà que les jouerus soient un peu plus "présents" en fin de match, que l'on est un peu les moyens de faire du bruit... et que l'on ai un attaquant.
Bref pas la mer à boire

Et virer Jacky à l'animation ! En tout cas la démarche est très bonne.

Prenez donc Didier Le Botmel !!! S'il vous plaît !!!!

Rennes veut doubler la mise

ça a donné quoi la nouvelle mascotte
bien ou pas

Sympa. Elle participe à mettre l'ambiance. Les gamins adorent. Elle a même réussi à faire venir les joueurs devant le kop à la fin du match !

Citation :

Mercredi sur RMC, Patrick Le Lay est revenu ssur les dossiers brûlants en ce Mercato hivernal. Si le président rennais espère conserver Frédéric Antonetti, son objectif premier est d’offrir du spectacle aux supporters.

Les ambitions du club
Il faut être réaliste. Les supporters veulent tous la même chose : qu’on finisse premier du championnat. Ce n’est pas un objectif réalisable. Le but est d’être européen, même si on vise plus la Ligue Europa que la Ligue des Champions. En cas de place sur le podium, mon intention est de garder l’équipe comme elle est. C’est ma politique. Si on est européen, on va investir mais pas n’importe comment car on a une grille salariale. Si on prend un joueur qui a le double de salaire des autres, cela risque de mettre la pagaille dans le club.

Le cas Yann M'Vila
Les offres ne sont pas un problème. C’est l’un des éléments clés de l’équipe, un grand joueur. Il est jeune et doit encore progresser. C’est un garçon remarquable qui a encore du potentiel. On ne va pas discuter du prix de M'Vila, ce n’est pas sérieux. Je pense qu’il restera avec nous. D’ailleurs, c’est son souhait.

Le cas Sylvain Marveaux
Concernant Marveaux, il devait resigner lorsque je suis arrivé (ndlr : en juin dernier) et il n’a pas voulu. Vous ne pouvez pas forcer quelqu’un. En plus, il ne joue plus beaucoup car il est beaucoup blessé ces derniers mois. L’été dernier, il n’est pas parti car il n’a pas fait l’objet d’offre. Ce sont des hommes qui sont libres de faire ce qu’ils veulent.

Christian Bentéké
C’est pratiquement fait. C’est en cours de discussion. Je lis L’Equipe comme vous. La presse a toujours des renseignements avant nous…

La fin de contrat de Frédéric Antonetti
C’est notre souhait qu’il prolonge. Frédéric a dit : « J’aime former des jeunes et j’aimerais bien les voir bien jouer. Je suis venu avec un objectif: qu’on soit européen. » Et ça ne me pose pas de problèmes. Je ne vous avance pas ce soir (ndlr : mercredi) qu’il décidera de prolonger mais personnellement, j’en ai envie. Je trouve que la façon dont il parle aux joueurs est simple et efficace. C’est un homme qu’on écoute et qu’on comprend. Il apporte beaucoup à Rennes.

Le manque de spectacle
On a progressé par rapport à ça. C’est la seule réflexion que j’ai faite aux vœux à l’ensemble du staff technique et de l’équipe : donner du spectacle. Le match face à Bordeaux (0-0, 17eme journée de Ligue 1) a donné une mauvaise image du club. C’est le point essentiel selon moi. J’ai eu trop souvent l’impression que les joueurs ne se donnaient pas au maximum. Je pense qu’avec l’équipe actuelle, on peut faire le spectacle.

foot365.fr

Ouais on apprend pas grand chose mais Anto devrait rester et bentéké c'est fait...
pour ce qui est de l'ambition par contre....

A lire ça, on a l'impression que le club ne veut pas de la Ligue des Champions !
Fred 2SS revient !!!!!!!

Canal+ a décidé de consacrer son excellent magazine de 26' Intérieur Sport au retour de Fabien Lemoine. Diffusion ce samedi à 13h45.

Vraiment un très, très bon doc sur notre valeureux Fabien, symbole du SRFC et futur capitaine à n'en pas douter. Respect Mister Lemoine

Yacine Brahimi, l'atout rennais

Un futur très bon
Espérons qu'il ne prenne pas la grosse tête comme Marveaux

M'Vila doit prendre les clés

KTC, discret mais efficace

"Frédéric Antonetti sera l’invité principal du Canal Football Club, l’émission phare de football de Canal+, dimanche prochain à 19h20. L’entraîneur du Stade Rennais F.C. reviendra notamment sur les belles performances des « Rouge et Noir ». " site off



Il va lui tirer son slop et lui coller sur la tronche

ça risque de fuser entre les deux
A ne pas louper

Effectivement, ça devrait être intéressant à regarder. Lui qui a toujours été consterné par la surmédiatisation de certaines équipes devrait avoir une belle occasion d'exposer ses arguments au principal diffuseur de la Ligue 1. J'aimerais bien savoir ce qu'ils vont lui répondre

Ca promet, c'est bon ça ! Menes va être dans ses petits souliers quand il va critiquer le jeu produit par le Stade !

Antonetti allume la première mèche

Citation :

Frédéric Antonetti ne l'a jamais caché, il n'est pas un fan des «donneurs de leçons», présents dans les talk-shows articulés autour du monde du football. Pourtant, l'entraîneur du Stade Rennais sera présent dimanche soir sur le plateau du Canal Football Club. «J'y vais, car ça fait trois ans qu'ils m'invitent et que je n'y suis jamais allé, mais aussi pour dire certaines choses sur le Stade Rennais et notre politique», a expliqué le Corse jeudi. «Les matches du dimanche soir font un peu la réputation des équipes et celui à Bordeaux (0-0) nous a fait beaucoup de mal. On nous a collé une étiquette injustifiée et après, sans qu'on regarde nos matchs, on a continué de nous donner cette réputation », a-t-il poursuivi.

lequipe.fr

Montpellier, la trace de Montano

merlubreizh a écrit:

Antonetti allume la première mèche

Citation :

Frédéric Antonetti ne l'a jamais caché, il n'est pas un fan des «donneurs de leçons», présents dans les talk-shows articulés autour du monde du football. Pourtant, l'entraîneur du Stade Rennais sera présent dimanche soir sur le plateau du Canal Football Club. «J'y vais, car ça fait trois ans qu'ils m'invitent et que je n'y suis jamais allé, mais aussi pour dire certaines choses sur le Stade Rennais et notre politique», a expliqué le Corse jeudi. «Les matches du dimanche soir font un peu la réputation des équipes et celui à Bordeaux (0-0) nous a fait beaucoup de mal. On nous a collé une étiquette injustifiée et après, sans qu'on regarde nos matchs, on a continué de nous donner cette réputation », a-t-il poursuivi.

lequipe.fr

je répète, le match Menes/Dugarry VS Antonetti risque d'être très sympa

A vos Magnétoscopes

So Foot a écrit:

Rennes champion ou Rennes en Ligue des champions, c’est autant un rêve pour les supporters Rouge et Noir qu’une bonne blague pour le reste de la France. Cette saison pourrait malgré tout être la bonne. Démonstration en cinq points.

Rennes ne joue plus aux montagnes russes

Fini les saisons débutées comme un relégable et terminées en dragster avant la fatale panne d’essence du dernier virage. Cette saison, Rennes est dans les temps, opé, mobilisé depuis les prémisses de la campagne. Son plus mauvais classement remonte ainsi à l’anecdotique première journée (9e) et un match nul pas si anecdotique que ça contre Lille. Depuis ce petit point récolté face à l’actuel leader de L1, les hommes d’Antonetti n’ont jamais quitté le top 5, le bonnet d’âne Rouge et Noir remontant à fin novembre et un cinq sur vingt, après avoir concédé deux défaites (à Auxerre et Lorient) en trois matches. Qui dit mieux ? Personne, tout simplement. Rennes est l’équipe du top 5 la plus régulière. Comme ça, l’air de rien.

Rennes ne trébuche plus au pied de la marche

Les vieux démons ont enfin été balayés. Cette saison, fini les tabous, Rennes ose s’affirmer et oublie de s’évanouir au moment d’affirmer sa position. Ainsi, les Rouge et Noir ont fini par retrouver en la journée historique du 3 octobre 2010, le trône du championnat de France, déserté par la capitale bretonne depuis quarante ans. Une époque où Rennes remportait des trophées (Coupe de France 1965 et 1971), les deux seuls de son histoire. Ce premier interdit bravé, les hommes d’Antonetti ont aussi renversé en marche une sale habitude locale en saisissant enfin les opportunités qui leurs étaient présentées. Tout supporter rennais redoutait, par exemple, un faux pas à Toulouse le 20 février alors que ses donneurs de (dés)illusions préférés venaient d’enchaîner deux succès et avaient l’occasion de revenir dans la foulée du leader lillois. Surprise : Rennes l’emporta. Même constat de résilience face au relégable Lensois. La lose rennaise s’est souvent accompagnée d’une désespérante propension philanthropique à secourir les nécessiteux, mais pas de pitié cette fois, et même un enfant fait dans le dos de son ex par Boukari, tout juste arraché aux Sang et Or par les Rouge et Noir. Le club des bords de la Vilaine se montre désormais aussi impitoyable que Patrick le Lay avec le bon goût quand il se penchait sur la grille des programmes de TF1.

Un recrutement discret mais payant

Le départ de Gyan additionné à celui de Bangoura et aux plaintes d’Antonetti avaient donné le sentiment d’un renoncement des dirigeants rennais à toute ambition suprême. A y regarder de plus près, Rennes fut pourtant bien le club le plus actif lors du mercato d’été, avant l’effort de dernière minute de l’OM. 18 millions d’euros avaient ainsi été injectés pour renouveler la machine rouge et noir lors de l’inter-saison, avec Mandjeck, Souprayen, Kana-Biyik, Dalmat, Carasso, et Apam. Pas ronflant, mais rentable. Car, les absences répétés de Marveaux, son MVP du dernier exercice, et le rein laissé en route par Lemoine, indiquent bien que les recrues ont fait le job, l’ex gros chat sochalien excepté. Cet hiver, Rennes a remis sa tournée, avec le Togolais, Boukari, et le pari hollandais, John Verhoek. Pinault n’a pas pour autant dépensé sans compter, les dépenses étant quasiment compensées par la colonne recette, avec le départ de Fanni, comme cela avait été le cas avec l’envol estival de Gyan « Baby-jet » Asamoah vers Sunderland (16 millions d’euros). Ces renforts discrets mais nombreux offrent à Rennes un effectif dense qui pourrait rapporter gros dans la dernière ligne droite, comme les produits de son excellent centre de formation. 
 Une génération dorée

En 2008, le Stade Rennais mettait à l’amende Bordeaux (3-0). C’était en finale de Coupe Gambardella. Parmi les acteurs de ce succès écrasant, l’on retrouvait Théophile-Catherine, Souprayen, M’Vila, Brahimi, et Camara. Cette génération 1989-1990 est pour beaucoup dans la flatteuse position rennaise comme dans sa verte moyenne d’âge de 23,36 ans affichée au départ de la saison. A l’image du désormais international Yann M’Vila lors du dernier exercice, la capacité instantanée à se montrer opérationnel en équipe première de Théophile-Catherine, Souprayen, ou Brahimi, suggère l’émergence d’une génération dorée qui pourrait tirer Rennes vers le haut, à condition de parvenir à conserver ses merveilles. Programmé, le recours aux baby Rouge et Noir fut toutefois accru par l’avalanche de blessures qui toucha le Stade Rennais et par les départs de Gyan et Fanni. Outre la valeur ajoutée des produits locaux, la maturité montrée par les jeunes Doumbia et Kana-Biyik a manifestement provoqué une prise de conscience de certains éléments endormis de l’effectif, comme Alexander Tettey, enfin au niveau, et l’incroyable mue de John Boye, perçu comme un nouveau John Mensah depuis son éclosion subite cet hiver alors qu’il peinait à s’imposer en CFA depuis plus d’un an. Quand les remplaçants se montrent au moins à la hauteur des titulaires, Rennes peut avancer délesté de la peur du vide.

Frédéric Antonetti, la bonne affaire corse

Rennes souffre de l’absence d’un grand attaquant dans ses rangs, il lui manque aussi 20 millions au budget comme nous le déclarait Lazlo Bölöni la semaine dernière, et le manque d’expérience de la majeure partie de l’effectif pourrait finalement lui coûter cher lors des échéances décisives. Ces facteurs indiquent bien une chute probable des Rouge et Noir sous la barre de la Ligue des champions. Mais au rationalisme le plus fataliste, Frédéric Antonetti préfère la « détermination ». « Moi, j’aime les formations déterminées, déclarait-il au soir de la victoire face à Lens. Si j’ai pu apporter ça et que cela dure longtemps, j’en suis content. Parfois, on nous faisait le reproche, on disait même que cela était dans les murs… » Une faculté indéniable du bouillant entraîneur est de parvenir à transcender ses équipes, à en faire des machines incandescentes, comme ce fut le cas avec Bastia, Nice et Saint-Etienne. Huitième budget de Ligue 1, Rennes doit-il pour autant se conformer à son classement financier ? Ne pas appartenir au country club de France n’a par exemple pas dissuadé Lens (1998), Nantes (1995 et 2001), ou Auxerre (1996), de bousculer l’ordre établi, ou Nice de terminer à la huitième place (2006 et 2008). Si les Rouge et Noir parvenaient à les imiter, ils le devraient, en grande partie, à leur bonne affaire corse.

Très bon article sur Rennes .Ca fait du bien de lire cela