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sa n'empechera pas je pense pour qu'il finisse sa carriere chez nous quand meme.

Loic94 a écrit:

sa n'empechera pas je pense pour qu'il finisse sa carriere chez nous quand meme.

Oui, je l'espère pour vous...

Gouffran ne digère pas

Même s’il va reprendre avec Caen à son retour de sélection, Yoan Gouffran ne pardonne pas à ses dirigeants de ne pas l’avoir laissé partir au PSG. L’attaquant caennais vit mal la situation.

Il y a bien longtemps que l’on n’avait pas vu Yoan Gouffran faire cette tête-là. A le voir traîner ses baskets au côté du Rennais Marveaux sur la pelouse de Clairefontaine, on comprend tout de suite qu’il y a quelque chose qui ne va pas. Impression confirmée même si le Caennais affirme qu’il « garde le moral ». Pourtant, ce n’est pas vraiment ce qui ressort de la discussion avec le joueur dans l’une des salles de classe de l’INF. « Ça ne s’est pas fait avec Paris. C’était ma priorité, c’est un grand club et je suis de la région : j’ai tout pour réussir là-bas. »Tout en déchirant petit à petit avec la clé de sa chambre l’emballage du polo des Bleuets, Gouffran nous explique qu’il n’a pas digéré son départ manqué à Paris. Avec calme mais avec une amertume grandissante envers le Stade Malherbe. « Je ne vais pas le cacher ni faire semblant, il y a quelque chose de cassé entre le club et moi. J’ai été déçu par Franck Dumas et les dirigeants. »

En clair, Yoan Gouffran se sent trahi. La saison dernière, devant l’appétit de Chelsea mais surtout d’Auxerre pour le jeune attaquant caennais au sortir d’un bon Euro au Portugal, Caen avait déjà mis son veto. « A l’époque, on m’avait tenu le discours suivant : je restais un an de plus et on discutait de mon avenir. Mais on ne m’a jamais dit qu’on ne me laisserait pas partir. » Mais c’est ce qui s’est passé. Pourtant, comme convenu avec Caen, Gouffran a joué le jeu et est resté dans son club formateur, contribuant même en grande partie à la montée. Ses dirigeants, eux, ne peuvent pas en dire autant. A entendre leur petit protégé, ils ont ainsi eu une drôle de façon de traiter les sollicitations qui se sont présentées sur le fax du club. « Les dirigeants ne disent pas qu’il y a eu beaucoup d’appels pour moi, ni qu’ils ont répondu à qui ils voulaient. Ça ne se fait pas, c’est un manque de respect, déplore le Caennais qui ajoute, malicieux, que « le président croyait que je n’étais au courant de rien mais en fait, je savais tout ».

« Allo, c’est Arsène Wenger. Il y a quelqu’un ? »

Depuis fin mai, « Yoyo » a donc suivi l’évolution de son dossier. Et notamment les nombreux appels dans le vent d’Arsène Wenger (Arsenal), qui souhaitait faire signer le milieu de terrain de l’équipe de France Espoirs et le prêter à Caen jusqu’à la fin de saison. Après que l’entraîneur d’Arsenal a perdu patience, Gouffran a alors été informé du désir d’Alain Perrin d’en faire le complément de Keita sur le côté droit. Ce que le principal concerné ne souhaitait pas. « A Lyon, il y a pas mal de joueurs et je n’aurais pas forcément joué. » Est alors venu le tour du PSG, conscient que la venue de Wiltord ne se ferait pas. Gouffran n’a alors plus qu’une seule idée en tête : rejoindre son club de cœur dès cet été. « Dés qu’il y a eu du concret avec Paris, je voulais que ça se fasse. J’ai bien senti une volonté de Paris de me prendre, pas seulement pour dire qu’ils ont eu Gouffran mais pour me faire jouer. »

Les premières offres parisiennes arrivent en Normandie mais « Malherbe » semble demander toujours plus. Pas coutumier du fait, Gouffran entame donc un bras de fer. « J’ai séché les entraînements. Je sais que ce n’est pas bien de faire ça mais j’avais vraiment envie de rejoindre le PSG. Et comme les dirigeants n’écoutaient pas trop ce que j’avais à leur dire, c’était un moyen de leur mettre la pression. Mais cette pression n’aura aucun effet sur le président Fortin. Jusqu’au bout, Caen a tenu. Gouffran terminera donc l’année au SMC. Car pour le moment, il n’est toujours pas parisien. En attendant de l’être, le droitier va remplir son devoir envers Caen. Mais pas de bon cœur. « Je suis sous contrat là-bas et je ne peux pas faire n’importe quoi non plus : j’ai des devoirs envers le club. La relation sera bizarre. Au début je vais faire la tête mais il faudra bien passer à autre chose. » Rendez-vous est déjà pris au Mercato d’hiver.

http://www.football365.fr/infos_clubs/caen/story_190957_Gouffran-ne-digere-pas.shtml

tien tien ! mdr clin d'oeil à mon forum où le même article vient d'être posté !

Moi je pense que cette histoire peut nous pourrir la saison...

muoais mais qu'il reste pro tout de même et qu'il ne se la joue pas à "puisque c'est comme ça je vais rien foutre à Caen" car autant le faire jouer en CFA et encore

il reste à Caen donc il doit jouer à fond pour ce club

Les joueurs de foot sont vraiment zarbis par moments

c'est marrant c'est ce que je vien de mettre sur ton forum tilouis

Loic94 a écrit:

c'est marrant c'est ce que je vien de mettre sur ton forum tilouis

J'étais obligé de faire la liaison entre les deux !
Désolé mais c'est la fatigue de la reprise et puis franchement je me détends beaucoup sur ce forum avec vous amis supporters !

j'en fais de meme j'espere que sa gene personne...

Loic94 a écrit:

j'en fais de meme j'espere que sa gene personne...

nan nan t'inquiètes !

Bêtises et frais pour le SMC
16h01 : Le Stade Malherbe s'est vu infliger une amende de 1000€ par la commission de discipline après des incidents durant le match Caen-Sochaux.
Les décisions de la Commission de discipline sont toutes inscrites ci-dessous:

Ligue 1
Un match ferme et un avec sursis : Obraniak (Lille), Lacour (Strasbourg)
Un match ferme : Cana (Marseille), Tamas (Auxerre), Mater (Valenciennes), Gueye (Metz)

Ligue 2
Un match ferme : Baning (Sedan), Dos Santos (Guingamp), Dohin (Libourne Saint-Seurin), Kaboré (Libourne Saint-Seurin), Amzine (Troyes), Viator (Châteauroux), Robin (grenoble), S.Keïta (Ajaccio), Vosahlo (Dijon), Fauré (Reims)

Coupe de la Ligue
Un match ferme et un avec sursis : Zywiecki (Dijon), I.Traoré (Sedan), Abdoulaye (Clermont), Mandrichi (Ajaccio)
Un match ferme : Baldé (Reims)


Autres décisions
500 € d'amende à Valenciennes pour usage d'engins pyrotechniques lors de Lorient-Valenciennes (29 août)

1 000 € d'amende à Saint-Etienne pour usage d'engins pyrotechniques lors de Lyon - Saint-Etienne (26 août)

15 000 € d'amende à Lyon pour usage d'engins pyrotechniques et déploiement de banderoles injurieuses lors de Lyon - Saint-Etienne (26 août)

3 500 € d'amende au PSG pour usage d'engins pyrotechniques lors de Le Mans - PASG (29 août)

250 € d'amende à Saint-Etienne et Strasbourg pour usage d'engins pyrotechniques lors de Saint-Etienne - Strasbourg (29 août)

2 000 € d'amende à Marseille pour usage d'engins pyrotechniques lors de Marseille - Nice (29 août)

30 000 € au PSG, 1000 € à Marseille pour usage d'engins pyrotechniques lors de PSG - Marseille (2 septembre)

500 € d'amende à Saint-Etienne pour usage d'engins pyrotechniques lors de Nancy - Saint-Etienne (1er septembre)

250 € d'amende à Toulouse pour usage d'engins pyrotechniques lors de Toulouse - Auxerre (1er septembre)

1 000 € d'amende à Caen pour usage d'engins pyrotechniques lors de Caen - Sochaux (1er septembre)

1 000 € d'amende à Bordeaux pour usage d'engins pyrotechniques lors de Bordeaux - Monaco (1er septembre)

1 000 € d'amende à Rennes pour usage d'engins pyrotechniques lors de Rennes - Lille (1er septembre)

2 000 € d'amende à Grenoble pour usage d'engins pyrotechniques lors de Clermont - Grenoble (31 août)

500 € d'amende à Nantes pour usage d'engins pyrotechniques lors de Bastia - Nantes (3 septembre)
Par Gauthier POULIN
(8 Sep 2007, [SMCaen.net])

1000€, c'est pas ur que ça les dissuade de continuer !

no c'est clair...tant que ce sera les clubs qui pairont et pas les groupe de supporter c'est pas prés de s'arreter.
sa emmerde tout le monde pour voir le match et c'est dangereux

La quête du maintien ne sera pas si « confortable » que prévu Convertir en PDF Version imprimable Suggérer par mail
Écrit par Aline
25-09-2007

ImageIl n'y a pas si longtemps que cela, la montée en Ligue 1 semblait marquer le début d'une nouvelle ère marquée par des nouveautés significatives : logo, équipementier, boutique. En parallèle, les discours des dirigeants étaient des plus optimistes. Jean-François Fortin nous annonçait ainsi qu'il visait un « maintien confortable », un « bon milieu de tableau ». Pour tous, la confiance était de mise. Quelques mois plus tard, la dernière place logique du Stade Malherbe, conséquence d'un début de saison très décevant, plonge le club dans une situation délicate.


Qu'il semble déjà loin le temps où tous les espoirs semblaient permis ! Ce temps, pourtant pas si lointain où, dans un même élan, dirigeants, joueurs, supporteurs et même, parfois, journalistes, prédisaient le meilleur au Stade Malherbe de Caen. Le club bas-normand semblait, alors, avoir tous les atouts entre ses mains pour se pérenniser au haut niveau, et même, pourquoi pas, créer la sensation de ce championnat de Ligue 1 coutumier aux surprises. Il avait réalisé un recrutement intelligent avec des joueurs aguerris à la Première Division, en France ou à l'étranger. Il avait étoffé en nombre un groupe à l'effectif trop limité la saison dernière. Il avait gardé Yoan Gouffran, sur qui il comptait beaucoup, fort logiquement. Dans le même temps, en continuant à développer ce jeu léché dont il s'était fait une spécialité depuis deux saisons en Ligue 2, le SMC avait brillé lors des matchs de préparation. Et puis, il y avait l'euphorie de la montée en Ligue 1, l'état d'esprit toujours excellent au sein de cette équipe, un engouement populaire assez extraordinaire caractérisé par la rapidité à laquelle sont partis les 15 000 abonnements mis en vente...

Bref, tout cela laissait présager du meilleur et l'optimisme était de rigueur. Le président du directoire, Jean-François Fortin, ambitionnait « un parcours correct qui nous positionnerait pour la première année dans un bon milieu de tableau ». Nicolas Seube, bien que méfiant et « humble » gardait la même ligne de conduite : « terminer en milieu de tableau serait très bien pour pouvoir préparer les saisons à venir plus sereinement ». Le capitaine et ses hommes avaient hâte de « prouver ce dont on est capable ».

En-dehors du terrain, le nouveau logo, le remplacement d'Errea par le plus pimpant Nike en équipementier, l'agrandissement de la boutique et les nouvelles gammes de produits dérivés l'accompagnant, donnaient le sentiment que le Stade Malherbe de Caen prenait une nouvelle ampleur, au-delà même de son changement de division.

Mais le football ne répond qu'à une seule règle : celle du terrain. Et c'est là que le bât blesse. Arrivé au quart – déjà – de la saison, Caen pointe à une dernière place logique et n'a pas encore véritablement prouvé, en sept matchs joués, qu'il avait sa place au sein de cette élite. Il y a trois ans, après autant de rencontres disputées, le SM Caen était treizième et, comptait neuf points, cinq de plus qu'actuellement. Si, sur le plan comptable, le bilan est donc très mauvais, il n'est que peu meilleur en ce qui concerne le jeu déployé. Certes, Caen a rarement été « à la rue », pour reprendre l'expression de Nicolas Florentin, cette saison. Il n'est passé totalement à côté que contre Saint-Etienne. Mais ses carences défensives additionnées à une inefficacité, voire une inoffensivité, sur le plan offensif justifient, pour le moment, cette place de lanterne rouge. Le jeu mis en place par Franck Dumas serait-il trop ambitieux ? Ce n'est pas impossible. Les nombreux buts encaissés l'atteste. Si les Malherbistes ne sont pas meilleurs dans le repli défensif, s'ils ne parviennent pas à resserrer les lignes pour combler au maximum les espaces, ce schéma à cinq joueurs offensifs n'est pas viable. Mais plus que tactique, le problème est avant tout individuel. Combien de pertes de balle, de mauvais placements, d'erreurs techniques de toutes sortes ont-ils étaient commis en un mois et demi ? Le fait est que pratiquement aucun joueur n'évolue au niveau qu'on attend de lui. Seuls Vincent Planté, souvent mis à rude épreuve, Grégory Proment, qui a également beaucoup à faire, et Nicolas Florentin, bien que souvent remplaçant, surnagent. Et comme si cela ne suffisait pas, Malherbe doit de nouveau faire face aux blessures, étant privé pour plus d'un mois de plusieurs titulaires dans les secteurs les plus en difficulté, la défense et l'attaque.

Ce fait du hasard ne fait que souligner une lacune peu mise en évidence jusque alors : la faiblesse du banc à certains postes importants. Si le Stade Malherbe a quatre milieux défensifs pour une place (Proment, Leca, Raineau, Gomis voire Nivet qui peut tout à fait y évoluer), il n'a comme doublure au poste d'arrière droit que son arrière gauche, Nicolas Seube. Ce dernier a pour remplaçant attitré un ancien milieu de terrain, déjà limité en Ligue 2, et, par conséquent, plus encore en L1, Reynald Lemaitre. De même, Caen n'a pas d'autre milieu droit que Yoan Gouffran. Et sa défense centrale sans Karl Svensson n'est guère rassurante et en rien supérieure à celle de la saison dernière, qui n'était déjà pas parmi les meilleures de Ligue 2. Ça fait beaucoup...

En outre, les recrues tardent à apporter ce qu'on attendait d'elles. Benjamin Nivet n'évolue pas à son véritable niveau, Florian Boucansaud n'est, au mieux, pas encore remis de sa saison blanche passée à Troyes, Juan Eluchans a besoin d'une période d'adaptation et Issam Jemaa a été plutôt bon avant qu'il ne se blesse mais à aucun moment décisif.

Face à ces constats, quelles solutions apporter ? Il en est une de certaine : chaque joueur doit faire son autocritique et retrouver très vite un niveau tout autre.
On peut également beaucoup dire sur le système tactique à mettre en place. On l'a vu ci-dessus, il est sans doute trop offensif. Mais contre Metz, ce n'est pas à lui que l'on doit imputer la défaite. En revanche, Caen aurait sans doute dû « bétonner » après avoir ouvert le score. Les Caennais doivent être prêts à jouer « jouer moche » si nécessaire. Seuls les trois points de la victoire importent quand on est dernier, qu'importe si la manière n'est pas au rendez-vous. Le salut passera peut-être par un jeu plus prudent, par un groupe d'abord solidaire en défense avant de lancer des attaques rapides.
Les résultats médiocres des Malherbistes pourraient également être l'occasion de donner leur chance aux jeunes. Depuis Yoan Gouffran en 2005, aucun n'est devenu titulaire potentiel, et pourtant, la qualité est bien présente, comme l'attestent les sélections en équipes de France des jeunes. Pour prendre quelques exemples, Elliot Grandin est considéré par ses entraîneurs successifs comme le meilleur joueur formé à Caen depuis une dizaine d'années, et pourtant ses apparitions en Ligue 1 sont parcimonieuses et jamais à son poste de prédilection, attaquant. En défense, Stéphane Zubar est considéré par certains, dont son frère, comme meilleur que Ronald, Thomas Heurtaux fut international avec les moins de 19 ans, Romain Inez s'entraîne quelques fois avec les pros et est le capitaine de la réserve. Ce sont trois défenseurs centraux. Pourquoi s'obstiner à refuser de faire jouer ces jeunes ? Pourquoi Rémi Gomis et Alexandre Raineau, qui évoluent certes au même poste mais qui sont tous deux très doués, n'ont-ils pas disputé la moindre minute de jeu en Ligue 1 ? Le Stade Malherbe est un club formateur qui risque gros à ne pas faire jouer les joueurs qu'il vient de former. De manière plus globale, comment attirer les meilleurs jeunes français au centre de formation s'ils n'ont pas de perspective d'avenir au sein de l'équipe professionnelle de ce club ?
Enfin, il reste le cas Franck Dumas. Il est sans doute trop tôt pour considérer que l'entraîneur caennais est sur la sellette mais si dans quelques semaines les résultats ne sont guère meilleurs, il ne fait aucun doute qu'il sera menacé, malgré son entente avec Jean-François Fortin et sa grande influence au sein du club. Il faut assumer cette dernière place. À tous les étages.


source: www.passion-malherbe.com


message un peu long mais tellement vrai...
:caen: :SMC: :caen:

M.Poulat : "Dumas arbitre, il y aurait des émeutes" Convertir en PDF Version imprimable Suggérer par mail
Écrit par Aline
27-09-2007
Franck Dumas avait eu des mots durs envers Eric Poulat après sa prestation lors du match qui opposait Caen à Metz. L'entraîneur caennais avait conseillé à l'arbitre international de "prendre vite sa retraite parce que ça [le] gonfle légèrement d'avoir des arbitres comme ça".
M. Poulat a répondu à ces attaques sur lequipe.fr, en utilisant un ton au moins aussi mordant et sarcastique. Jugez-en vous-même... : « Si M. Dumas veut prendre ma place, je n'y vois pas d'inconvénient, mais je pense qu'il y aurait des émeutes à chaque match. De mon côté, si je prenais la sienne, ça ne serait pas pire puisque Caen est déjà dernier ». Franck Dumas avait déclaré en conférence de presse d'après-match aimer « les parodies de film » mais pas les « parodies d'arbitrage ». « C'est d'une telle bassesse... a répondu celui qui était sélectionné pour la Coupe du Monde 2006. C'est un phénomène cyclique. Chaque saison vers la 10e journée, les entraîneurs en difficulté s'en prennent à nous plutôt que de s'interroger sur leur recrutement ou leur management ». Et pan !

Comment expliquer ce débordement verbal de la part de l'entraîneur caennais ? Certes, la, prestation de l'arbitre de la rencontre, déjà très mauvais la saison dernière quand il avait oublié de siffler trois penaltys évidents en faveur de Caen contre Montpellier, n'avait pas été brillante. Mais il n'avait pas non plus été aidé par les nombreux fautes commises de part et d'autre, rendant le jeu très haché. Ces attaques de Franck Dumas a son égard paraissent pour autant avoir été disproportionnées. Le manager caennais, qui s'était montré très protecteur envers ses joueurs malgré leur défaite à domicile contre la lanterne rouge, a-t-il passé sa colère sur la seule personne extérieure au club à qui il pouvait en vouloir ? Ou bien son "défoulage" était-il une façon d'attirer l'attention vers lui pour mieux faire oublier le match et la triste prestation de ses hommes ? Dans ce cas, il aurait plutôt bien réussi puisque ses propos ont eu de l'écho dans les médias, toujours avides de déclarations choc.

Quoi qu'il en soit, Franck Dumas n'aurait pas du livrer de tels propos. Monsieur Poulat est un arbitre très respecté de ses confrères et il n'est pas impossible que l'attitude du coach malherbiste influence négativement les prochains arbitres des matchs joués par Caen. Caen ne doit sa dernière place qu'à lui-même, peut-être aussi à la malchance (au vu des joueurs blessés), mais surement pas au corps arbitral.


source: www.passion-malherbe.com

Comment dire... Poulat a bien remis Dumas à sa place... Espérons que ça nous porte pas préjudices !

Caen : Dumas envenime la situation
Rédaction Football365 - vendredi 28 septembre 2007 - 15h12

Monsieur Poulat s'est récemment défendu des attaques de Franck Dumas. Ce dernier a poursuivi ses critiques dans France Football.

Après Caen-Montpellier et Caen-Metz, Franck Dumas a critiqué l'arbitrage de M.Poulat. Ce dernier avait d'ailleurs répondu : « Si M. Dumas veut prendre ma place, je n'y vois pas d'inconvénient, mais je pense qu'il y aurait des émeutes à chaque match. De mon côté, si je prenais la sienne, ça ne serait pas pire puisque Caen est déjà dernier. » Cela n'a pas laissé l'entraîneur de Caen aphone. « Ce qui me désole (lors des deux matchs arbitrés par celui-ci, Caen-Montpellier et Caen-Metz, quatre penalties évident n'ont pas été sifflés), c'est sa mauvaise foi à ne pas reconnaître ses erreurs qui ne sont pas dignes de son professionnalisme. Moi je commence une carrière, je fais des erreurs à l'inverse de Monsieur Poulat qui lui a un passé d'arbitre qui justifie, apparemment, son honnêteté et ses compétences », a-t-il déclaré dans France Football.


c'est du tac o tac.mais a mon avis le pere franck risque d'avoir des pbs avec la ligue si sa continu



:caen: :SMC: :SMC: :caen:

je dirai même plus, dumas va être sanctionné : c'est quasiment certain !

En bouleversant son schéma tactique habituel, Caen vient de battre Toulouse à deux reprises et se relance après un début de saison délicat. Organisés en 4-1-4-1, les Normands ont peut-être trouvé la bonne formule.

Les amateurs de tableau noir n’auront pas manqué de constater la révolution de velours opérée par Franck Dumas. Après le traditionnel 4-1-3-2 ambitieux depuis le début de saison - un système qui avait largement fait ses preuves en L2 -, l’entraîneur normand a changé ses plans à l’occasion des deux rencontres disputées cette semaine face à Toulouse. A la clé, deux probants succès, avec une équipe profondément remaniée et rajeunie au Stadium en Coupe de la Ligue (3-3, 4 tirs au but à 2) puis avec l’équipe type en championnat, victorieuse 2-1 à Malherbe des hommes d’Elie Baup. Trois points en forme de bouffée d’oxygène pour un promu qui n’avait remporté qu’un match sur sept depuis le mois d’août.

Inspirés par les réservistes, héroïques à Toulouse, les cadres tels Planté, Sorbon, Proment, Gouffran et Compan ont peut-être enfin lancé leur saison dimanche. « Dans la façon d'aborder les choses, dans le contenu, les jeunes avaient montré la voie en Coupe de la Ligue, et le reste de l'équipe a suivi » concède Franck Dumas dans les colonnes de Ouest France. « On a tous vu le match à la télé, les jeunes se sont arrachés, ça nous a faits quelque chose, et ça a réellement donné un coup de boost, un coup de pression aux autres, renchérit le défenseur Reynald Lemaître. On était dedans d'entrée, présent dans les duels, dans l'engagement, tous en bloc. » Surtout, le système à une pointe reconduit a parfaitement fonctionné. Positionné avec Compan aux avant-poste devant une ligne de quatre joueurs en soutien, les Normands ont trouvé un équilibre qui sied bien au profil très technique des Nivet, Deroin et autres Gouffran.

Les joueurs ont apprécié ce repositionnement. « Pour être efficace dans ce système, explique Benjamin Nivet, il faut vite venir offrir du soutien à l'attaquant, être très présent sur les deuxièmes ballons, ce que l'on a bien réussi sur ce match. » Très exigeant, surtout pour l’unique récupérateur Grégory Proment, le 4-1-3-2 a-t-il vécu ? « On a deux systèmes intéressants, tempère l’ancien Troyen mais c'est vrai que dans ce schéma, on s'est senti plus solides, plus compacts. » Sortis de la zone de relégation et avec un match en retard, les hommes de Franck Dumas vont pouvoir aborder plus sereinement leur prochain déplacement à Lorient, samedi. Tout en essayant de pérenniser les acquis de leur mue tactique.

source:football365

Caen : Une nouvelle mascotte
Rédaction Football365 - mardi 02 octobre 2007 - 15h44

Le SM Caen dévoilera mercredi sa nouvelle mascotte, en présence des joueurs Nicolas Seube, Karl Svensson et Mustapha Traoré, indique le site officiel du club normand.

Fin du suspense. C'est mercredi Centre Paul Doumer que sera dévoilée la nouvelle mascotte caennaise. Le Fougueux Destrier, le Guerrier Viking et le François De Malherbe sont en lice. A noter la présence pour l'occasion des joueurs Nicolas Seube, Karl Svensson et Mustapha Traoré.



vive les bléssés!!!

CAEN / ANTHONY DEROIN :
« Moins naïfs qu’en 2004 »
lundi 15 octobre 2007 - 15 h 06 - Mathieu BAHUET

« Moins naïfs qu’en 2004 »






Caennais historique pour sa onzième saison à Malherbe, Antony Deroin fait le point sur le début de saison bas-normand. Le milieu offensif estime sa formation plus mûre qu’en 2004-05, exercice conclu par une descente en L2.

Anthony Deroin, quel premier bilan faites-vous après un gros quart du championnat ?
Pour l’instant, nous ne sommes pas sur un excellent rythme de croisière, même si nous comptons un match en retard (Ndlr : à Lens). En revanche nous sommes assez satisfaits du jeu produit, même si cela ne remplace jamais les points égarés. Du coup, nous lâchons un peu le jeu depuis deux matchs pour nous focaliser sur l’efficacité.

Qu’est-ce qui est le plus difficile pour se réacclimater aux exigences de la L1 ?
La grosse différence, c’est la dimension tactique. Chaque équipe est vraiment très bien organisée et laisse peu d’espaces, alors que notre équipe en raffole de par son vécu et son style de jeu. Autant en L2 nous parvenions à nous projeter systématiquement vers l’avant sans trop faire attention à ce qui se passait dans notre dos, autant ceci est impossible à l’échelon supérieur.

Caen était une formation étiquetée très joueuse la saison passée. Comment trouver le bon équilibre, sans se renier ?
C’est beaucoup plus difficile de trouver des décalages, de mettre hors de position les défenses. Nous avons tâtonné tactiquement au départ même si nos dernières prestations sont encourageantes.

Avec un repositionnement tactique opéré par Franck Dumas et un 4-1-4-1 qui semble vous convenir…
Il fallait stopper cette spirale négative, surtout sur le plan défensif. L’idée était de densifier le milieu de terrain, pour récupérer le ballon plus vite et plus haut. A contrario, nous péchons peut-être un peu plus dans l’animation offensive. Il faut maintenant trouver le juste milieu, mais c’est un système qui nous a rassurés. Après, je ne suis pas certain que nous le conservions toute la saison. Le coach (Franck Dumas) a plusieurs atouts dans sa manche…

Grégory Proment ne tire pas trop la langue, seul à la récupération ?
Nous avons un milieu à vocation offensive, avec des joueurs de ballon. C’est certain qu’un garçon comme Benjamin Nivet nous apporte beaucoup par sa bonne lecture du jeu et sa qualité technique. Greg (Proment) est aussi au diapason, car il est une excellente première rampe de lancement. Nous savons que nous avons des aptitudes dans la conservation du ballon. Il s’agit après d’en faire une meilleure utilisation dans les zones de vérité. A Nancy (défaite 1-0, 2eme journée) par exemple, nous avions largement tenu le ballon sans être véritablement dangereux.

Sur le plan de la confiance, le double succès face à Toulouse a relancé le groupe…
La qualification en Coupe de la Ligue a boosté tout le groupe, avec une équipe remaniée qui a fait du bon boulot. Cela a densifié la concurrence et tiré tout le groupe, dont les prétendus titulaires.

Le dernier nul ramené de Lorient est-il plutôt encourageant avant la venue de Lille samedi ?
On a plutôt bien tenu le choc, en se rassurant défensivement. C’est un point très positif puisque nous avions beaucoup de mal en déplacement jusque-là. A nous de répondre présent face à Lille, qui reste sur de bons résultats.

En tant que caennais historique, comment situez-vous le groupe par rapport à 2004-05, date de votre dernière saison dans l’élite ?
Nous avons une équipe beaucoup plus mûre et plus posée cette année. La plupart des artisans de la montée sont restés et nous sommes encore six joueurs à avoir connu la précédente montée. Après, on a récupéré des joueurs d’expérience comme Proment, Nivet et d’autres qui doivent encore s’adapter. Nous sommes beaucoup moins naïfs qu’il y a trois ans et nous avons pris plus rapidement la mesure des exigences de la L1. On ne donnera pas deux fois le bâton pour se faire battre.

http://www.maxifoot.fr/articles/4470/

http://www.maxifoot.fr/articles/4471/index.htm

se sont les lien d'un interview de proment.trés marrant!!!

CAEN / FRANCK DUMAS :

« On m’a laissé le temps »

mercredi 07 novembre 2007 - 10 h 30 - Olivier DE LOS BUEIS




PANORAMIC


Le manager général de Caen Franck Dumas a le sourire : son club est invaincu depuis cinq matchs en L1. Pour Football365, il revient sur le retour en forme du SMC et sur ses convictions dans le travail.




Franck Dumas : merci pour le
spectacle proposé dimanche à D’Ornano contre Le Mans (3-2). Comme quoi
il peut y avoir de beaux matchs en Ligue 1…
Pour avoir un
bon match, il faut être deux. Il faut avoir une équipe qui a envie de
jouer à l'extérieur. Chose qui n'est pas forcément le cas tous les
week-ends. Connaissant bien l'entraîneur du Mans (Rudi Garcia, ndlr) et
sachant comment il faisait jouer Dijon l'année dernière, je savais
qu'il avait une équipe qui jouait à la maison comme à l'extérieur. Le
foot, il faut aussi que ça soit agréable (rires). Nous, on joue tout le
temps.
Vous montrez aussi qu’en jouant au football vous pouviez
être efficace puisqu’après un début de saison difficile, Caen remonte
la pente avec une série de cinq matchs sans défaite. A-t-il été facile
de prôner le jeu avant tout, plutôt que de bétonner quand ça allait
moins bien ?
Ce n’est pas le jeu qui nous faisait défaut,
c’est l’investissement de tout le monde défensivement qui manquait. On
a une équipe qui joue. Quand on jouait les premiers rôles en Ligue 2,
on avait plus de certitudes. Quand on arrive en L1, il faut garder ces
certitudes et les augmenter. Mais même si vous les augmenter
offensivement, l’écart se creuse sur les défauts que vous avez. Il a
fallu remédier à cela en trouvant un équilibre entre le fait d’attaquer
et le fait de se replacer. Défendre, ça appartient à tout le monde.
Aujourd’hui, la mentalité a changé.
On a senti que votre équipe, sans devenir plus méchante, est devenue au fil du temps plus agressive dans le bon sens du terme…
C’est
cela. Il n’est pas question d’être méchant, mais il faut être réaliste.
J’avais dit qu’il fallait cinq ou six matchs pour se mettre au niveau
de la L1. Ça a été à peu près ça. On a mis du temps à s’adapter.
Beaucoup d’équipes attaquent avec quatre joueurs : il y en a
pratiquement six qui défendent. Nous, nous n’avons pas forcément de
grosses individualités donc on s’appuie sur le collectif. Il fallait
trouver l’équilibre nécessaire pour la L1.

Ce défaut qui vous faisait perdre du temps, vous l’avez tout
de suite trouvé ou vous avez dû tâtonner pour découvrir ce qui n’allait
pas ?
Non. Je me suis un peu entêté dans mon choix (rires).
Je pensais qu’on pouvait réussir comme ça. On avait réussi en L2,
pourquoi ne pouvait-on pas réussir en L1 ? En fin de compte, il
manquait l’état d’esprit qu’il fallait avoir en L1 au niveau du
replacement et de la stratégie défensive. Il fallait y remédier en
mettant un milieu supplémentaire.
Malgré ce changement tactique, vous avez gardé cet esprit
offensif : il fallait juste faire comprendre à tout le monde qu’en L1,
il fallait en faire un peu plus…
Ce week-end, j’ai mis
Eluchans, Gouffran, Nivet, Deroin, Compan : cinq joueurs à tendance
offensive. Ils ont fait un gros boulot défensif. J’ai réussi à mettre
Deroin et Nivet ensemble. Benjamin a bien rempli son rôle un peu plus
en retrait et Titi Deroin s’est bien replacé dès qu’il avait perdu le
ballon dans l’axe derrière l’attaquant. Voilà…
Avec cinq matchs sans défaite, vous allez être forcément plus attendu : le plus dur ne va-t-il pas commencer, dès Valenciennes ?
Non,
on est bien. Aujourd’hui, une défaite ne remettrait pas grand-chose en
question. Peut-être que le contenu d’une défaite pourrait le faire.
Mais aujourd’hui, nous avons beaucoup plus de certitudes. Maintenant,
j’entends parler après le match de Lens certains journalistes lensois.
Ils disent que Lens allait redresser la tête, qu’ils avaient un match
de retard contre Caen qui leur permettrait de prendre des points
(rires). On reste donc une petite équipe, ce qui ne nous déplaît pas
non plus…

Cette « petite équipe » est quinzième : il ne manque plus
qu’à marquer à l’extérieur ce que vous n’avez pas réussi à faire depuis
le début de saison. Comment expliquez-vous le décalage entre les
performances à domicile et à l’extérieur ?
Il faut de la
réussite. Les occasions à l’extérieur on en a. Il faut vouloir tuer le
match. On joue au ballon aussi à l’extérieur. Ça nous dessert parfois:
même à l’extérieur on arrive à se prendre des contres, ce qui est une
aberration à l’extérieur. Mais c’est notre jeu. Quand on a les
occasions, il faut les mettre : c’est ce qui fait la différence entre
nos matchs à la maison et ceux à l’extérieur.
Franchir cette étape vous permettrait aussi d’être un peu plus tranquille au classement ?
Oui.
Le classement c’est la conséquence des points. On s’est fait critiquer
pace qu’on avait une mauvaise défense. Je ne pense pas qu’on ait une
très mauvaise défense : on est au milieu du classement des défenses.
Là, on parle de ça… Alors j’ai dit que le prochain match à l’extérieur,
on marquerait, même si on en prend cinq (rires). Tout le monde sera
content, on aura marqué à l’extérieur ! Sérieusement, on ne calcule pas
: avant de marquer contre Le Mans on a eu trois grosses occasions sans
cadrer… La différence se fait là.
Une autre différence : avec la confiance retrouvée, vous
avez su réagir après l’égalisation du Mans, ce que vous n’auriez
peut-être pas pu faire en début de saison…
C’est pour ça
qu’aujourd’hui une défaite n’enlèverait rien à ce qu’on a fait depuis
un mois. Après, il faut analyser le pourquoi de la défaite. Mais si on
joue de la même façon, avec le même investissement, une défaite
n’entraînera pas une remise en question.

Franck, vous avez su relancer l’équipe près un mauvais
départ. On a l’impression que vous pouvez travailler tranquillement,
sans pression excessive et négative de la part des dirigeants. Est-ce
que nous nous trompons ?
C’est exactement ça. Papin disait
qu’il fallait du temps à un entraîneur pour assoir sa façon d’être et
d’agir. C’est exactement ça. Cela fait deux ans que j’ai pris l’équipe.
On a fini 4eme de L2 puis 2eme de L2… Ça prouve que le président me
fait confiance. Il a continué de le faire malgré le mauvais départ
cette saison. Il m’a laissé travailler avec le staff, Garande
(entraîneur adjoint), Parizon (entraîneur), Branger (préparateur
physique), Petereyns (entraîneur des gardiens). Les joueurs ont été
réceptifs. On a pas mal parlé et on a trouvé un équilibre. Je n’ai pas
forcément eu la pression de me faire virer même si je sais au fond de
moi que ça fait partie du jeu. Mais on m’a laissé le temps.
Cette connaissance du groupe et cette confiance vous a
permis de « bouger » un joueur emblématique comme Hengbart, que vous
trouviez trop gentil, ou de motiver un joueur comme Gouffran déçu de ne
pas quitter le club au mercato…
Les deux ans ont été
importants pour ça. J’ai aussi joué avec certains joueurs qui sont là.
Je ne triche pas avec eux. Ils savent comment je suis. Quand il y a des
choses qui vont mal, quand il y a des difficultés, ma porte est ouverte
: on peut discuter. Il n’y a aucun souci. A l’inverse, quand j’ai des
choses à leur dire, je ne vais pas y aller par quatre chemins.
Pour revenir au cas Gouffran dont on préfère parler pour ses
buts que pour son transfert, sa situation a-t-elle gêné le groupe et le
staff ? On ne parlait que de ça pendant une longue période.
Si on est terre à terre, c’est très important pour Yoann d’être demandé par des clubs. C’est Paris.
C’est valorisant pour lui. Après, il y a le club. C’est difficile quand
on est contacté par Paris un 22 août… « On vous prend votre joueur et
démerdez-vous ! » La réaction du joueur, on refuse Paris, il pensait y
aller… Je pense qu’il a compris notre situation. Il voulait qu’on
comprenne la sienne, bien sûr qu’on l’a comprise. Mais par rapport au
fait qu’on a discuté en début de saison, qu’il était d’accord de rester
une saison avec nous, je n’avais pas fait un recrutement pour le
remplacer. Tout ça fout l’équilibre en l’air. Les joueurs ont bien
réagi. Certains joueurs ont parlé, en comprenant sa situation, mais en
disant « il faut que tu restes là, que tu t’investisses le temps que tu
resteras là. »

On sent que chez vous, une compréhension totale avec vos
joueurs est primordiale. Après le match du Mans, par exemple vous avez
tenu à réconforter publiquement Issam Jemaa malgré son penalty raté :
il n’y a pas de place pour les non-dits…
Il faut savoir
taper sur la tête quand on le doit, mais il faut aussi reconnaître
quand ça va bien. Pour Issam, il a besoin de retrouver la confiance. Il
a besoin de jouer après son entorse d’un genou. Franchement, j’aurais
bien aimé qu’il marque le penalty. Mais ça n’enlève pas ses qualités.
Issam sera là samedi : la vie d’un footballeur ne s’arrête pas à un
match.
Samedi justement, vous affronterez le Valenciennes d’un
autre ancien défenseur, Antoine Kombouaré. Comme lui, vous prônez le
jeu : les anciens défenseurs qui jouent l’attaque est-ce bien normal ?
(Rires)
Pour gagner des matchs il faut marquer des buts ! Est-ce que vous jouez
pour ne pas en prendre ou pour marquer ? Bien sûr qu’il faut faire les
deux. Mais il faut un impact offensif. On ne peut pas jouer constamment
petit bras. A un moment donné, il faut prendre des risques. Il faut
aussi jouer en fonction des joueurs que vous avez. Si Antoine joue un
football bien léché, c’est qu’il a des joueurs pour. Moi, aujourd’hui,
j’ai la même chose. J’ai des joueurs qui sont attirés vers l’avant, qui
aiment prendre le jeu à leur compte. Je ne peux pas l’enlever. Après,
il faut juste trouver l’équilibre entre l’attaque et la défense. Pour
ce qui est d’être un ancien défenseur, moi je jouais derrière mais
j’aimais bien monter…

football365.fr a écrit:

Pour le cinquième anniversaire du tramway de Caen, six joueurs du Stade Malherbe étaient présents dimanche dans le tram ainsi qu'à différentes stations pour y dédicacer des posters de l'équipe.

Cédric Hengbart, Antony Deroin, Nicolas Seube, Alexis Thébaux et Rémy Gomis, tous joueurs du SM Caen, ont tous les six passé leur dimanche après-midi dans le tramway de la ville à l'occasion des cinq ans du tram.

Invités pour une séance de dédicaces par le réseau de transport, Twisto, Hengbart, Deroin, Seube, Thébaux et Gomis se sont prêtés au jeu dans le tram, mais également à trois stations desservies par la ligne.

:shock: :shock: :shock: :shock:

oui et j'ai lu une anecdote sur sa,aparement le tram a été bloqué 10min pour un probleme technique,et une mami a été engueuler les joueurs parce qu'elle croyait que c'etait pour eux.
c'est le temoignage d'un caennais sur passion malherbe!!