Gernot Rohr remercié

Suite aux mauvais résultats des Canaris, l'entraîneur Gernot Rohr a été démis de ses fonctions par Waldemar Kita. Il est remplacé par Jean-Marc Furlan.

Tout va pour le mieux dans la maison jaune

A quand le National ?

sais pas mais ton père doit être ravi

nantes en national

et ouais mec ça serait kiffant

ouè vahrua est dans canal football club il veut partir de lorient il aimerait bien

Ouais mais il parle aussi de prolonger Ce serait sympa d'ailleurs, car il sera en fin de contrat en juin.

Deux mois et demi après son arrivée, Furlan est déjà menacé et ne devrait pas faire de vieux os à la Jonelière La prochaine victime de Kita se nomme Baptiste Gentili

Furlan quitte Nanates
Baptiste Gentili le remplace mais ça pour combien de temps

L'affaire se poursuit en coulisses

Nantes : Furlan va au clash

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Vendredi soir, après la défaite de son équipe à Nantes (1-3), Faruk Hadzibegic, l'entraîneur de Bastia, avait violemment critiqué les méthodes des dirigeants canaris, qui ont démis Jean-Marc Furlan de ses fonctions deux mois et demi seulement après son arrivée. «Je fais appel à toutes les forces lucides du football pour arrêter le massacre, avait-il lâché. C'est une honte pour le foot, une injustice humaine. À cause de quelques malades, on va gâcher le foot !»

Le club nantais n'a pas tardé à réagir, répondant dans un communiqué au technicien bastiais, dimanche. «Trois agents différents, mais aussi M. Hadzibegic lui-même, nous ont appelés pour proposer ses services afin de remplacer Furlan. Ça ne le gênait donc pas de travailler avec des malades. A se demander qui est le plus malade !» Le FCN tiendra ce lundi matin une conférence de presse pour présenter officiellement le successeur de Jean-Marc Furlan, Baptiste Gentili. Dans une ambiance toujours aussi électrique.

lequipe.fr

La réponse d'Hadzibegic

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Le match continue entre les dirigeants nantais et Faruk Hadzibegic, l'entraîneur de Bastia. Celui-ci a en effet tenu à réagir après la publication d'un communiqué rédigé par l'état-major du FCNA. « Je confirme mon soutien à mes confrères, mais je veux aussi répondre aux mensonges colportés par les dirigeants de Nantes, a expliqué l'entraîneur franco-bosniaque. Je ne sais pas où ils sont allés chercher que j'avais contacté leur club pour remplacer Jean-Marc Furlan via trois agents, car je n'ai jamais eu trois agents. Et je n'ai jamais pris contact avec des dirigeants que je ne connais pas. Ces gens-là ont un comportement irresponsable et jettent le discrédit sur les dirigeants du football français qui, à part deux ou trois exceptions, savent gérer un club », a poursuivi Hadzibegic, qui entraîne Bastia depuis fin décembre dernier.

Et pendant ce temps, du côté de la Jonelière

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Nommé lundi à la tête du FC Nantes, Baptiste Gentili a pour premier objectif de «faire gagner des matches à l'équipe» et «d'éviter ainsi la descente en National». Adjoint de Michel Der Zakarian quand celui-ci entraînait Nantes, entre juin 2007 et août 2008, Gentili prend les rênes du FCNA «avec fierté et plaisir». «Beaucoup de gens aimeraient être numéro un à Nantes, assure-t-il, je suis motivé à 2000 % pour remplir cette tâche. Je veux transmettre cette foi à cette équipe», ajoute l'ancien technicien de l'AC Ajaccio.

Conscient que la situation actuelle des Canaris n'est pas évidente, Gentili assure que le challenge est «attrayant mais il faut avoir l'honnêteté de dire que cela ne va pas être facile». «Je ne suis pas quelqu'un qui a l'habitude de me faire mener par le bout du nez, prévient Gentili. Ce n'est pas une question de bomber le torse. Je préfère endosser mes responsabilités avec mes idées que me faire critiquer avec les idées des autres», conclut-il. (Avec AFP)

lequipe.fr

Les joueurs nantais n'y vont pas de main morte avec leur président et leur nouvel entraîneur

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« Le revoir un an et demi après, ça fait bizarre, concède l'un d'eux. Si c'est l'homme de la situation ? Je ne sais pas. Moi, ce que je vois, c'est qu'il est resté en contact avec le président (Kita). C'est ça qui me fait peur. » De toute évidence, les joueurs, perdus dans le « cirque » actuel (lire nos éditions d'hier), se posent de nombreuses questions. « Il faut être « à la rue » pour accepter de revenir en ce moment au club, souligne un autre Canari. De ce côté-là, je ne lui fais pas spécialement confiance. J'attends de voir comment il va se comporter. Va-t-il être décisionnaire ? » Bref, vous l'aurez compris, la défiance envers l'ancien milieu de terrain de l'ACA, Nice, Cannes, Mulhouse et du Gazélec d'Ajaccio est de mise. C'est sûr, on a connu des arrivées plus enjouées...